Entretien avec le professeur
Pourquoi avoir choisi d’enseigner dans une école plutôt que dans un conservatoire ?
Je n’ai pas choisi d’intervenir dans une école, mais plutôt dans celle-ci. J’ai trouvé dans cette petite structure toutes les conditions qui me permettent de travailler avec une totale liberté d’action et des conditions matérielles exceptionnelles.
Quant aux conservatoires, il ne faut pas oublier que derrière la «grande porte», se cachent des hommes et des femmes, et que c’est à leur propre personnalité et pédagogie que vous serez confrontés. Elle peut être bonne, mais ce n’est pas une valeur absolue. Un excellent pianiste, même sympathique n’est pas forcément un excellent prof, ni a fortiori celui qui vous convient ! Mais souvent titres et diplômes mis en avant rassurent…
Vous proposez désormais vos cours en visioconférence, pourquoi ce changement ?
La crise sanitaire liée au Covid-19 a imposé des mutations profondes de nos habitudes, voire de notre société. Cette année a été inédite et notre monde est en train de changer. Il va sans doute falloir porter un regard différent sur la vie et envisager de faire évoluer nos us et coutumes si bien établis.
C’est la seule raison ?
Non, ce n’est pas la seule… Ensuite, des rencontres au hasard de la vie m’ont parfois permis de découvrir que des amis vivant en province ou à l’étranger auraient été heureux d’apprendre la musique à mes côtés. C’était à l’époque matériellement impossible. Alors, pourquoi ne pas rendre accessible mes cours au plus grand et vaste monde ? Je veux certes rester humble, mais vous en conviendrez, plus un projet est grand, moins on a de chance de le perdre de vue.
Cependant, la technologie a évolué et vous avez « suivi le rythme » si je puis dire ?
Effectivement, l’évolution de notre société n’a pas échappé aux innombrables et stupéfiantes avancées technologiques. Ces progrès techniques favorisent indéniablement une approche et un travail différent. Ils deviennent de fait plus efficaces et plus pratiques, mais aussi plus simples et plus rapides, et surtout plus reposants pour tous. On peut conserver un savoir faire éprouvé et apprécié, et le mettre à disposition via des outils différents, et plus adaptés encore à notre époque.
Et si l’avenir de l’enseignement à distance de la musique et du chant devenait la norme ?
Donc c’est : « bienvenue dans les cours de musique 2.0 » ?
Oui, on peut dire ça comme ça… (rires)
Mais c’est quand même moins bien que sur place non ?
Vous plaisantez j’espère… Non seulement, je fournis le même travail, et peut-être même avec plus de précision. Si je dois montrer un geste musical par exemple, je le fais exactement dans les même conditions. Mais mon travail consiste surtout à expliquer et décrire précisément les choses. Si seule une démonstration suffisait, vous deviendriez pianiste en allant juste à plusieurs récitals de piano.
De mon point de vue, cette approche présente de nombreux avantages et pour tout le monde. Sinon, je ne l’aurais pas fait.
Vous pouvez m’en dire plus ?
Le fait de prendre vos leçons de chez vous fait déjà que vous êtes plus détendus, vous n’avez plus de déplacements. C’est extrêmement appréciable, d’autant plus que désormais les cours sont également assurés le dimanche.
Finis les aléas liés aux transports en commun, les retards ou les absences provoquées par une réunion qui s’éternise, ou le stress d’arriver en retard à votre cours. Au bout du compte tout le monde est gagnant.
En quoi vos élèves sont-ils gagnant ?
Et bien, c’est une évidence ! Certes on peut pas négliger l’aspect technique des cours en visioconférence. Un cours donné dans ces conditions ne s’improvise pas. Mais une fois ces aléas techniques réglés, ce ne sont que des avantages.
Je reste très attaché au fait de travailler dans de bonnes conditions de sons et d’image. Je veille aussi à ce qu’il en soit de même pour mes élèves.
Y a-t-il des élèves qui vous ont dit préférer les cours en visioconférence en ayant pu comparer les deux ?
C’est amusant de vous posiez cette question… Justement Thomas, 15 ans, m’a dit après sa première leçon en visioconférence : « c’est top, c’est même mieux qu’avant… » Et je peux vous assurer qu’à cet âge-là, ils ne mâchent pas leurs mots et disent vraiment ce qu’ils pensent. Et surtout s’ils peuvent mettre leur prof en porte-à-faux, ils ne s’en privent pas. (rires)
Vous ne voyez aucun inconvénient à ce nouveau mode de fonctionnement ?
Si, vous avez raison, il y en a deux.
Le premier c’est qu’on ne se voit plus « en vrai ». C’est pour pallier cette faiblesse que nous avons d’ailleurs créé les Musicales (Ndlr : « Les Musicales de Marrakech »). Mais la dimension de ces longs weekend musicaux n’est pas uniquement sociale ou amicale. Elle est aussi artistique puisque nous allons proposer à nos élèves, s’ils le souhaites, de valoriser leur travail en se produisant en public et ce, dans des conditions instrumentales et techniques professionnelles. Nous serons bien sûr à leurs côté pour les aider à préparer leur prestation.
L’autre inconvénient concerne les instruments sur lequel vont jouer les élèves. Ce sont désormais uniquement les leurs. Et si vous possédez un piano de mauvaise facture, vous serez un petit peu pénalisé dans le sens où vous n’aurez plus de la chance de jouer sur le « beau piano à queue » comme l’appelait les élèves et que l’on mettait à leur disposition. Mais ne vous trompez pas , peu d’écoles ont du matériel comme celui que nous avions. Il peut même arriver que ce soit des instruments premier prix, mis à la disposition de petits groupes. Mais là, on parle vraiment d’une autre approche, et ce n’est pas du tout la mienne.
Y a-t-il des élèves à qui la « visio » a fait faire marche arrière ?
Quoi que vous fassiez, vous ne ferez jamais l’unanimité. Certaines personnes pensent d’entrée de jeu, que ce sera moins bien ou trop compliqué. Il porte d’ailleurs ce jugement sans même avoir essayé, ou bien sans même avoir pris le temps d’échanger avec moi sur la question. Dans ces conditions, chacun apportera le crédit qu’il souhaite à ces propos. En revanche, après un essai, si je sens que ça ne fonctionnera pas bien, notamment avec les plus jeunes, je renonce.
Revenons, si vous le voulez bien, votre façon de travailler. La relation prof élève est-elle importante ?
Elle n’est pas importante, elle est capitale. Elle est basée sur la confiance, l’écoute et le respect. Il est indispensable pour moi de bien comprendre la personnalité de l’élève qui souhaite travailler avec moi, de me mettre à sa place pour pouvoir trouver ensemble le meilleur moyen d’aborder son étude et de surmonter ses difficultés.
Comment êtes-vous devenu professeur de piano ?
Après l’une de mes prestations publiques, un professeur de piano présent dans la salle, m’a demandé de prendre en charge les nouveaux élèves qui le sollicitaient… J’ai d’abord refusé. Il a insisté et j’ai fini par accepter. J’ai alors découvert que par-delà le trac que m’imposait le souci de bien faire, j’étais capable de faire preuve de patience, de rigueur, de clarté dans les explications ou même les images que je donnais, et de créer une ambiance agréable et détendue pendant les cours. J’ai découvert alors le plaisir de transmettre ce que j’avais moi-même appris. C’était parti. Le bouche-à-oreille a fait la suite…
On peut vraiment commencer à apprendre le piano à tous les âges ?
Prétendre faire une carrière de concertiste en débutant l’apprentissage du piano à 40 ans reste utopique… Plus sérieusement, contrairement à ce que beaucoup croient encore, on peut effectivement apprendre ou reprendre la pratique du piano à l’âge adulte et ce, sans passer plusieurs heures par jour à faire des gammes, des arpèges et des exercices pénibles… Jouer du piano devient alors une merveilleuse valeur ajoutée à la stabilité et à l’épanouissement personnels.
Vos élèves proviennent donc d’horizons très divers : qui sont-ils exactement ?
Je peux vous donner quelques exemples, même si par définition, ils ne sont qu’illustratifs. Il y d’abord les plus jeunes déçus par des pratiques inadaptées du Conservatoire qu’il faut réconcilier avec la musique, la maman qui après avoir élevé ses enfants décide de consacrer un peu de temps pour elle, il y a également des adultes qui ont toujours rêvé d’apprendre le piano et qui n’en ont pas eu le temps ou les moyens par le passé, il y a aussi des personnes découvertes au hasard des rencontres et qui m’interrogeant sur mon métier, décident de s’y mettre… Il y a aussi des élèves qu’on présente comme inaptes à toute discipline ou toute concentration : le profil type de l’enfant différent et difficile… Et puis, je veux évoquer les pianistes qui ont, plus jeunes, abandonné l’étude du piano à cause d’un enseignement qui ne leur convenait pas, à cause du solfège, et qui décide de s’y remettre, dans un autre contexte.
Quelle est votre spécificité d’approche en piano ?
Tout d’abord, c’est de traiter concrètement les difficultés, sans les contourner ni les mettre de côté, y compris avec les enfants. Et puis, l’étude du piano ne peut pas se résumer au déchiffrage d’une partition ou à la mise en place d’un morceau : notes, mesure, doigtés, phrasé, nuances… ou même tempo. Le travail peut aller beaucoup plus loin que cette mise en place de base.
Je pensais pour ma part, que ce n’était que cela apprendre le piano. C’est ce que je faisais lorsque j’ai commencé le piano étant plus jeune…
Ce n’est pas que ça, mais c’est déjà un bon début. Il y a une différence entre jouer du piano et faire de la musique.
En réalité, il s’agit d’une démarche beaucoup plus complète et subtile qui fait intervenir en premier lieu la détente et le toucher, mais aussi tout à la fois la position, l’écoute, l’analyse et la compréhension, la mémorisation des sensations, l’équilibre, l’autocritique, la concentration, le contrôle de soi, la mémoire, le développement de la créativité…
Et tout cela se construit avec le temps, sans jamais perdre de vue l’objectif final : la recherche de sa propre musicalité, source incontestable d’un plaisir subtil et profond. Cependant, rigueur et plaisir restent indissociables pour parvenir à jouer une pièce avec un succès mérité.
Tout ceci mériterait d’être développé. Je suppose que c’est ce que vous faites au cours d’une leçon ?
Tout à fait, mais je n’aborde pas l’ensemble de ces points simultanément et tout cela s’intègre progressivement dans mon cours. Nous sommes là au cœur de la pratique et c’est la combinaison de tous ces aspects qui conduit à une véritable expression musicale de qualité. Ainsi, je veux donner, mais aussi entretenir le plaisir de jouer, et ancrer la musique dans la vie de mes élèves. Il ne faut pas oublier que c’est la régularité du travail qui fait avancer les choses.
Et depuis combien de temps vous enseignez ?
Cette année, ça fera 36 ans. Et c’est la synthèse de l’ensemble de ce que j’ai appris pendant mes années de Conservatoire, mais aussi auprès de professeurs indépendants auquel s’ajoute mon expérience pédagogique et scénique, ainsi que mes propres recherches que je mets au service de mes élèves.
Le taux d’abandon en piano à l’issue de la première année est de l’ordre de 80% chez les débutants. Quel est le vôtre ?
Il est inférieur à 10 % avec les enfants chez qui je m’emploie à développer le goût d’une pratique régulière de l’instrument. Et j’essaie que le rendez-vous hebdomadaire du cours soit un moment privilégié tant du point de vue du travail que nous réalisons ensemble que de la relation que nous développons. L’enfant doit venir à ses leçons avec plaisir et faire des progrès.
C’est la seule raison ?
Non, pas seulement. Je crois que cela tient aussi à la façon dont on choisit ses élèves. Soit je sens bien les choses et je suis convaincu que le jeu en vaut la chandelle ; soit je ne les sens pas. Et dans tous les cas, je le dis. Pour l’heure, je n’ai pas semble-t-il pas commis trop d’erreur d’appréciation ou d’intuition…
Et les parents, ont-ils un rôle à jouer ?
Oui bien sûr, mais surtout pas pendant le cours… Les parents n’ont pas à intervenir ; c’est une relation duelle et affective entre l’enfant et son professeur de musique. En revanche, une fois le cours fini, cela devient une affaire entre le piano et l’enfant, mais aussi ses parents. J’invite ces derniers à suivre le travail de la semaine selon mes indications, et à valoriser les progrès. Il est important pour l’enfant comme pour le professeur de pouvoir compter sur le soutien parental. Je me réjouis toujours d’avoir à faire à des parents qui ne sont pas indifférents, mais concernés par les études musicales. Dans ce cas, ils contribuent aussi à la durée de cette belle aventure. La musique n’est pas un loisir comme les autres…
Parmi vos jeunes élèves, combien peuvent prétendre en faire leur métier ?
Si on s’aventure dans des petites statistiques, sur les six derniers enfants que nous avons accueillis et formés au piano dès l’âge de cinq ans, tous sont encore nos élèves et trois d’entre eux évoquent même le fait de faire de la musique leur métier. Il ne leur reste qu’à s’accrocher : être le plus régulier et assidu possible dans la pratique. Car au bout du compte, plus que le talent ou les prédispositions, c’est le travail qui porte ses fruits.
Vous en êtes fiers ?
Fier… je ne sais pas ; peut-être un peu. Mais heureux, sûrement ! C’est une récompense et un encouragement : peut-être que ce que nous faisons, nous le faisons bien. Je veille surtout à ne pas passer à côté du potentiel de chaque enfant et surtout l’exploiter au mieux dans son propre intérêt.
Et en ce qui concerne les adultes, quelle est en général la motivation principale de celles et ceux avec qui vous travaillez ?
Il n’y a pas de règle. Parfois l’objectif premier va de la simple acquisition des bases du piano pour un débutant complet jusqu’à un perfectionnement plus technique pour un élève qui a déjà étudié le piano pendant plus de 10 ans…
Et avec dix années de piano, ce n’est pas devenu inutile de prendre des cours ?
Un regard extérieur sur votre pratique n’est pas forcément inutile et puis nous touchons là du doigt l’intérêt de se confronter à un professeur de piano qui saura détecter vos faiblesses techniques par exemple, vous en faire prendre conscience si nécessaire, et vous aider à les surmonter. Il peut également guider et orienter votre travail personnel. Mais cette démarche n’est nullement obligatoire et certains continuent de travailler seul, mais c’est peut-être moins facile…
D’un point de vue pédagogique, vous êtes plutôt adepte de l’école Française ou de l’école Russe ?
Le plus judicieux est d’arriver à faire autant de place à la technique qu’à l’interprétation. Mais tout est une question de dosage et d’équilibre dans un cours. Parfois le travail purement technique rassure… Quant à celui de l’interprétation, il séduit mais reste peut-être plus difficile, car plus intime. Il faut aussi comprendre le style du morceau et sa structure. Cependant, ce versant ouvre des perspectives tout à fait incroyables. Les deux sont à mon avis non seulement indissociables, mais doivent rester étroitement liés pour une étude complète et cohérente du piano.
Quelle est la durée des cours de piano que vous proposez dans le cadre de La Classe de Phil ?
Il n’y a pas de règle ; mais en général, ça varie entre une demi-heure et une heure et demie, en fonction du niveau de l’élève, et surtout du temps dont il dispose dans la semaine ou le mois pour travailler personnellement. Tout va dépendre de l’objectif que l’on définit et que nous devons atteindre…
Ce sont plutôt des enfants ou des adultes qui viennent vous voir ?
Vous oubliez les adolescents… Je travaille avec toute personne désireuse d’apprendre à jouer du piano le mieux possible. Seule l’approche pédagogique, c’est-à-dire les moyens utilisés pour transmettre des connaissances, est différente. L’objectif et la méthodologie restent les mêmes : jouer de la musique et se faire plaisir.
C’est-à-dire ?
Eh bien, avec un jeune enfant, je vais plutôt aborder cet apprentissage sous forme de jeux, avec des mots plus simples et des images. Le but premier étant de lui donner envie de jouer du piano. Mais les conditions du cours sont très spécifiques pour les jeunes enfants, et je sollicite le concours d’un des parents.
Une sorte d’éveil musical ?
Pas du tout… ! Je préfère parler d’initiation puisque je vise déjà de solides bases ; mais je veille aussi, par-delà ce travail, à ne pas décourager. Il faut aiguiser la curiosité, rendre l’approche de la musique facile et plaisante ; je tiens à préserver l’enthousiasme initial… Mais nous abordons aussi sérieusement dès le début de l’enseignement la lecture de notes, l’étude du rythme, la théorie musicale, le travail de l’oreille… Nous avons donc à faire à de tous jeunes musiciens qui avant même de savoir lire, parviennent tout en s’amusant, à déchiffrer la musique et à jouer des mélodies au piano. Et tout naturellement, je vais induire le fait qu’ils trouvent goût et intérêt dans une pratique régulière.
Et ensuite vous commencez le piano ?
Non, nous commençons l’étude de l’instrument dès la première leçon. Nous mettons même en place un petit duo pour conclure la première séance. Les temps changent ; les méthodes évoluent aussi.
Et avec un adulte ?
Tout dépend s’il a déjà joué du piano ou pas. S’il est débutant, on découvre les principes de base du piano à travers des petits exercices adaptés, et de courtes pièces dans un style choisi.
Et s’il a déjà un bon niveau ?
Dans ce cas, nous faisons ensemble un « état des lieux », je l’aide si nécessaire à prendre conscience de ses faiblesses ou des aspects perfectibles. La première étape de notre travail devient donc évidente : dans un premier temps, on corrige une technique fragile ou défaillante qui peut représenter un frein dans son étude, son évolution. Ensuite, une fois le terrain « déminé » et les freins levés, on repart avec un perfectionnement technique personnalisé et ciblé mais surtout pas mécanique, visant toujours à améliorer les qualités d’exécution du morceau que l’on apprend à jouer mais surtout à interpréter, ce qui constituera, le second volet de notre travail.
La question qui fâche : qu’en est-il du solfège ?
Si plus jeune, vous avez fait du solfège « version XIXème siècle », il est normal d’appréhender le retour vers le piano. Cependant, même si les notes n’ont pas changé, la façon de les apprendre peut être plus légère voire ludique…
Mais, il est important de savoir lire correctement la partition pour jouer un morceau ?
Lorsque vous voulez jouer un morceau, il y a un code qu’est l’écriture de la musique et il faut non seulement le connaître mais surtout savoir l’utiliser. C’est ce à quoi je m’emploie également pour faire les choses dans les règles de l’art ; je le fais en développant des automatismes. Mais étant donné que le solfège est inclus dans le cours de piano, l’approche est plus agréable, et il existe des astuces simples pour rendre cet apprentissage théorique, tout aussi plaisant… mais indispensables à une étude sérieuse du piano.
Là vous parlez du piano classique ? Qu’en est-il de la variété ou du jazz ?
En variétés ou en jazz, rares sont les partitions écrites afin de restituer ce qu’on entend sur les CD… Il faut donc aborder d’autres questions comme l’étude des accords, l’harmonie, et le travail de l’oreille. Ensuite on envisage les choses différemment selon que vous souhaitez chanter et vous accompagner au piano ou bien jouer une mélodie connue comme on l’entend parfois dans un piano bar…
Tout cela donne bien envie. Comment procéder si on veut travailler avec vous ?
Le plus simple est de contacter l’école et je reviens vers vous afin que l’on se rencontre.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]